Arrière saison, la suite

8 octobre 2008

Et bien, il semble que l’arrière saison ait été courte …

Aujourd’hui, il fait froid et le ciel est tout gris … brrrrr !

Où sont mes jolies plages de sable et mon beau soleil qui me chauffait le dos …

La côte à perte de vue

La côte à perte de vue

Il reviendra le soleil … les vacances aussi.

En attendant, c’est octobre et son manteau gris qui vient nous annoncer que l’hiver approche. Doucement certes, nous ne sommes qu’au début de l’automne, mais déjà on voit dans les arbre, les premières feuilles jaunes et or virer doucement vers le rouge, avant de tomber en tourbillonnant sur le sol.

Octobre reparti, monsieur novembre apparaîtra et avec lui reviendrons les fumées blanches depuis les toits.

Nous allumerons nos cheminées, pour espérer nous réchauffer et préparerons doucement l’arrivée du dernier de l’an.

Décembre froid et bien humide aura peut-être les premiers gèles,  pour que sur nos toit rouge brique, glisse le traineau du père noël.

Le nouvel an, père de janvier  nous fera l’honneur d’autres gelés de galettes chaudes de cidre doux pour faire la fête comme des fous.

Viendra le beau février avec ces flocons immaculés, qui mettront du blanc sur mon gazon et de la joie aux yeux de mes garçons.

Avec une luge jusque mars nous jouerons les doigts gelés, puis ce mois là sans crier garde amènera des giboulées.

Avril commencera à chauffer, le sol froid de l’hiver passé. Le printemps sera déjà là et la nature s’épanouira.

Mai sentira bon, les nuits plus courtes, les jours plus longs. Le soleil sera présent, participera au réchauffement.

L’été viendra, amené par monsieur juin, la musique, nos têtes envahira pour faire la fête jusqu’au demain

Juillet et août, inséparables verrons partir les vacanciers, les écoliers sans un devoir s’amuseront des fois très tard. L’insouciance de l’été nous fera tout oublier. La tiédeur des nuits étoilés fera nos cœurs chavirer.

La triste réalité reviendra, avec septembre, le scellera qui par ses derniers beaux jours d’été nous ferait presque oublier que l’ami qui viendra lui succéder verra l’automne recommencer.